"Le phénomène du siècle... un miracle" - Sviatoslav Richter | |
"C'est un génie" - Mstislav Rostropovitch | |
"Un talent hors du commun..." - La Suisse | |
"Un génie comme celui-ci ne se rencontre qu'une seule fois en un siècle" - Claudio Abbado | |
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Arthur Rubinstein s’est exclamé : “Je remercie le Seigneur de m’avoir gardé
en vie pour pouvoir entendre de me propres oreilles le jeu de Sgouros. Il est le
meilleur pianiste que j’ai jamais entendu, moi compris”. Puis il retira sa
montre en or et la mit au poignet de Dimitris Sgouros, comme s’il lui passait le
flambeau. Deux mois plus tard, il mourait. Jeune garçon il reçut les éloges de
Rubinstein.
Depuis, Dimitris Sgouros a séduit les publics à travers le monde par son
prodigieux talent. Il s’est produit dans les salles de concert les plus
prestigieuses : au Carnegie Hall, au Royal Festival Hall (Londres), au Berlin
Philharmonic Hall, au Sydney Opera House, à l’Odeon of Herodes Atticus
(Athènes), à la Salle Pleyel (Paris). Il a collaboré avec les plus grands chefs et orchestres, tels que le
Philharmonique de Berlin, le Philharmonique de Londres, l'Orchestre National de
France, l’Orchestre
Philharmonique de la B.B.C., l’English Chamber Orchestra, le Philharmonique
d’Oxford, le Santa Cecilia de Rome, le N.S.O. de Madrid, l’Orchestre du Bolshoi,
le Philharmonique de Vienne, le Dallas and Fort Worth Symphonies, l’Orchestre
National de Washington, le Yomiuri Symphony Orchestra et le NHK Radio Symphony
du Japon, l’Orchestre Symphonique de Sydney et celui de Melbourne...
Dimitris Sgouros est né en 1969 à Athènes. Il débute l’étude du piano à l’âge de
8 ans. Après avoir brillamment terminé son cursus musical au conservatoire
d’Athènes il poursuit ses études à l’université du Maryland puis à la Royal
Music of Academy de Londres, où il obtint le meilleur palmarès jamais atteint à
l’Académie.
En 1982, alors qu’il n’a que 12 ans, Dimitris Sgouros fait ses débuts au
Carnegie Hall avec l’Orchestre Symphonique National de Washington D.C., sous la
direction de Mstislav Rostropovich. Il y interprète le 3ème concerto pour piano
de Rachmaninov. Il a enregistré plus d’une douzaine d’albums, avec des oeuvres
pour piano seul de Schumann, Brahms, Beethoven, Chopin, Liszt et Mozart, ainsi
que le concerto n°3 pour piano de Rachmaninov avec le Philharmonique de Berlin,
le premier concerto pour piano et la Fantaisie de Tchaikovsky avec le
Philharmonique de Londres, le concerto n°2 de Liszt avec l’Orchestre
Philharmonique de Slovénie... En 2003, le concert au cours duquel il joue les
2ème et 3ème concertos de Rachmaninov avec l’orchestre de l’Etat de Chypre pour
l’occasion du 150ème anniversaire de Steinway & Sons’, donne lieu à un
enregistrement en direct. Deux DVD ont été réalisés : un récital solo donné au
Festival 2000 de Montpellier, et un enregistrement « live » du Concerto de
l’Empereur de Beethoven avec le Bilkent Symphony Orchestra en Avril 2006.
En plus d’être un pianiste renommé dans le monde, Sgouros sait combiner
éducation et art. Il fut invité pour donner des conférences à l’université
d’Athènes, à la Toho Gakuen School of Music de Tokyo, à la Bilkent University
d’Ankara, à la Southern Methodist University de Dallas, et au New Conservatory
de Thessalonique. Il obtint le Prix International Da Vinci et le Melvin Jones
Award ainsi que bien d’autres récompenses internationales.
En 1988 un Festival fut créé en son nom à Ljubljana, en Slovénie. Depuis cette
époque, le Festival Sgouros fut organisé dans différentes villes comme Hamburg
ou Singapour.
Dimitris Sgouros fut qualifié de “phénomène musical”, de “mythe grec” et fut
comparé à Mozart. Le grand chef d’orchestre Russe Yevgeni Svetlanov dit :
“Chacun d’entre nous aimerait avoir à ses côtés un Sgouros”.
En Mai 1995, Sgouros donna un récital de gala au St. James’s Palace de Londres
avant une entrevue avec Ses Majestées le Roi et la Reine de Suède, le Duc du
Kent, et plus de 300 autres invités de marque.
En septembre 1997, il fut invité à participer au 850ème anniversaire de Moscou
où il interpréta le 3ème concerto pour piano de Sergei Rachmaninov au
Conservatoire de Moscou. Ses débuts en Russie furent salués par un grand
enthousiasme. Le critique Nikita Michalov déclara : “Nous vîmes un
extraordinaire pianiste interpréter un concerto de compositeur russe, comme
seulement lui peut le jouer”. Il revint à Moscou en octobre 2005, pour y donner
un concert de gala à l’occasion du 200ème anniversaire de la création du musée
du Kremlin. Il fut accompagné du prestigieux orchestre du Bolshoï.
En 1998, Dimitris Sgouros fit ses premières apparitions en Roumanie où il se
produisit dans toutes les villes les plus importantes. Deux de ses tournées
furent retransmises à la télévision, ce qui lui permit de gagner le coeur des
Roumains.
En mars 1999, il entame sa tournée en Afrique du sud, donnant alternativement
des récitals ou des concerts avec l’Orchestre National Symphonique de
Johannesburg à Cape Town, Durban, Pretoria et Johannesburg. En juin 2000,
Dimitris Sgouros donna le concert inaugural du Bilkent Odeon Theatre d’Ankara.
Avec l’Orchestre Symphonique de Bilkent et maître Gurer Aykal, il interpréta le
3ème concerto de Rachmaninov. Les critiques dirent que "Le troisième concerto de
Rachmaninov est plein de difficultés techniques. Seul Sgouros, un géant du
piano, pouvait le jouer avec tant de sensibilité.”
En avril 2000, il donne son récital au Carnegie Hall, et enregistre un CD des
Fantaisies de Schumann et de la sonate n°3 pour piano de Brahms.
Sampler saison 2012/2013 (Tchaïkovsky, Rachmaninov, Mozart)
MENTON | ||
58ème Festival de Musique | ||
Date :
Samedi 18 Août 2007 Concert hommage à Mstislav Rostropovitch Orchestre du 58ème Festival Direction, Jean-Bernard Pommier
Tchaïkovsky - Variations rococo pour violoncelle et orchestre
op.33
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Dimitris Sgouros, Mischa Maïsky, Jean-Bernard Pommier
Menton - Un final dédié à Rostropovitch
Une interview de Rostropovitch sur le talent de Dimitris Sgouros (en anglais) -
>>>
http://www.youtube.com/watch?v=-dbH72nBBfI
<<<
Tournée en Grèce |
4-8 décembre 2003 |
Participent à cette tournée :
Orchestre Philharmonique de Radio France
dir. Myung-Whun Chung
Dimitris Sgouros, piano
Tchaikovski : Concerto pour piano n° 1 | ||
Composé en 1874, le Premier Concerto pour piano et orchestre de Tchaikovski fut créé à Boston par Hans von Bülow. Il sera joué par Dimitris Sgouros lors de la tournée en Grèce qu'effectue l'Orchestre Philharmonique et son directeur musical Myung-Whun Chung. |
17-18 avril 2008 |
Orchestre Philharmonique de Radio France
dir. Myung-Whun Chung
Dimitris Sgouros, piano
17-18 avril, Athènes
Chopin : Concerto pour piano n° 1
Les Mellieropoulos en Grece (avril 2008) | ||
""En
fait hier nous avions convié une trentaine de clients pour un concert au
Mégaron d’Athènes (la grande salle proche de l’ambassade américaine) à
l’occasion de la venue de l’orchestre Philharmonique de Radio France avec le
Maestro coréen Myung-Whun Chung. Organisation un peu stressante avec des
clients qui viennent, puis ne viennent plus, puis viennent et qui finalement
le jour venu ne sont pas la ! Mais l’essentiel était que la majorité de nos
clients les plus importants étaient la et surtout que nous avons passé une
soirée magnifique Le concert était en deux partie avec en première partie un concerto pour Piano de Chopin avec un soliste grec Dimitris Sgouros excellent : il a été capable de faire respirer la salle à son rythme, bref un vrai moment de bonheur..." |
La Voix du Luxembourg (Luxemburger Wort) |
Virtuosité, poésie et cohérence |
Récital Dimitris Sgouros au Conservatoire de la ville de Luxembourg |
La dynamique «Association des Héllènes du Luxembourg», par l'organisation du concert de piano du jeune pianiste grec Dimitris Sgouros provoquait l'affluence des grands jours dans l'auditoire du Conservatoire de la ville de Luxembourg, et ceci pour un programme Scarlatti, Beethoven, Liszt et Schumann habilement agencé, combinant virtuosité, poésie et cohérence. Le jeune virtuose (1969), aux facultés exceptionnelles, commença dès l'âge de six ans l'étude de son instrument et après avoir donné son premier récital à l'âge de sept ans et demi, il étudia au Conservatoire d'Athènes pour ensuite continuer sa formation aux Etats-Unis d'Amérique et à l'Académie royale de Musique de Londres. Depuis lors, Dimitris Sgouros poursuit une carrière brillante de soliste international. Ceci étant, le soliste donna en guise d'introduction une des nombreuses sonates de Domenico Scarlatti. Présenté d'une manière élégante, cet «exercice» ludique mais délicat céda cependant la place a l'interprétation soignée de la célèbre Sonate no 26 op. 81 a en mi bémol majeur dite «Les Adieux» de Ludwig van Beethoven, écrite par le compositeur en 1809 au moment où les armées de Napoléon occupèrent Vienne. Décrivant le départ, l'absence et le retour du dédicataire de l'oeuvre, l'archiduc Rodolphe de Habsbourg, ami personnel de Beethoven, cette sonate débute par la transcription musicale du mot allemand «Lebewohl» (sol, fa, mi bémol). D'après le musicologue Sir Donald Francis, «l'idée poétique ne porte pas atteinte au developpement normal du style de sonate». Au demeurant, nous pouvons affirmer que l'interprétation de Dimitris Sgouros rejoigna cette idée en soulignant que tout en rendant d'une façon admirable la poésie de l'andante espressivo, elle releva cependant dans les mouvements rapides de l'oeuvre la cohérence et l'unité propres au style de Beethoven. La légende de Faust dans la version de Nikolaus Lenau, a inspiré Franz Liszt lors de la realisation de la première valse de Mephisto, poème symphonique mettant en exergue les qualités techniques de l'interprète. Dimitris Sgouros, en donnant cette oeuvre, a su, en se servant d'une virtuosité époustouflante, replacer le mélomane dans l'atmosphère diabolique décrite par le compositeur dans cette évocation de Faust et de Méphistophélès. La deuxième partie de cette soirée exceptionnelle, entièrement consacrée aux Etudes symphoniques op. 13 (avec les variations posthumes) de Robert Schumann, était placée sous le signe du romantisme allemand profond. Les études symphoniques en forme de variations (1834) sont construites sur un thème de M. von Fricken et dédiées au compositeur anglais Bennett. Ici, la virtuosité est conçue comme un moyen strictement utilitaire, destiné à soulignes les effets orchestraux de l'instrument mis en exergue d'une façon admirable par Dimitris Sgouros. Cette version de la grande oeuvre d'une unité étonnante trouva son apothéose dans le final au thème martial tiré d'un opéra de Marschner. Le récital de Dimitris Sgouros prouva une fois de plus que ce jeune virtuose grec fait dores et déjà partie des grands noms du piano. Dean Spielmann |
Théâtre de l'Octogone, Pully (Lausanne)
Chaconne de Bach-Busoni (Salle de musique de la Chaux-de-Fonds)
deSingel (Belgique)
Festival de Musique en Mer
Concert à l'Hôtel de Ville de Paris
Dimitris Sgouros à Hong Kong avec Corinne et Gérard Djaoui (Directeur International de Cartier)
MUSIQUE - Skalkottos, Rachmaninoff et Bartok à l'Athénée Roumain (2001) |
Le pianiste Dimitris Sgouros joue sous la baguette de Cristian Mandeal |
À l'occasion de la Fête Nationale de la Grèce, l'Ambassade Hellénique de Bucarest organise, à l'Athénée Roumain, les 21 et 22 mars à 19 heures, un concert du pianiste grec, de renommée internationale, Dimitris Sgouros. |
Le pianiste Dimitris Sgouros vient en Roumanie pour la deuxième fois. Il y a trois ans, il a donné des concerts tant à Bucarest qu'à Iasi, Cluj et Constanta. "Je me suis bien senti, le public était merveilleux, mais j'ai regretté de ne pas avoir collaboré, alors, avec maître Mandeal", raconte Dimitris Sgouros, se souvenant de sa première tournée en Roumanie. "Maintenant que je suis revenu pour la deuxième fois, mon bonheur est double : je joue à nouveau en Roumanie et, également, sous la baguette de maître Mandeal", dit le pianiste hellène.
Cristian Mandeal croit, quant à lui, que c'est un grand plaisir de collaborer avec un des grands pianistes du monde, surtout que c'est leur première rencontre sur la scène.
Le concert où vous pourrez écouter Dimitris Sgouros aura lieu aujourd'hui à 19 heures, à l'Athénée Roumain. le répertoire des deux soirées est romantique : les Danses Grecques de Skalkottos, le Concerto No. 2 pour piano et orchestre de Rachmaninoff et la 1ère Suite en Do majeur, op. 3, de Bartok. Le pianiste hellène sera accompagné par l'Orchestre Philharmonique George Enescu, sous la direction de Cristian Mandeal qui, en parlant de la musique de Rachmaninoff, estime que "il y a plusieurs aspects de cette musique, qui ont toutefois un dénominateur commun : celui d'émouvoir. C'est justement ce que nous tenterons de faire : émouvoir le public de l'Athénée Roumain, pendant les concerts de ce soir et de demain soir".
La 31 juillet, jour où la Flamme Olympique séjournera à Volos, le COJO ATHÈNES 2004 et la municipalité de Volos organiseront un grand concert de l’Orchestre Symphonique de la Municipalité de Volos sur le front de mer au monument Ethniki Antistasi.
Outre l’Hymne national de N. Mantzaros et l’Hymne Olympique de N. Samaras, inscrits au protocole de la Cérémonie, seront joués les morceaux suivants :
D. Padovanis | «Symphonie» - Introduction pour orchestre complet C - dur (6’) |
Z. Koukouselis | «Relais de la Flamme» (4’) |
M. Théodorakis | «Alogaki» - Extrait de la suite ballet «Karnavali» (4’) |
N. Skalkotas | Danse grecque «Kleftikos» (5’) |
S.Rachmaninoff | «Concerto Ν° 2 pour piano et orchestre» Op.18, c-moll (34’) |
Le célèbre maestro Syméon Kogkan dirigera l’orchestre symphonique avec pour soliste Dimitris Sgouros, pianiste grec de renommée mondiale.
12 août 2004 Départment d' Attique (Athènes) |
La Flamme Olympique passera la nuit sur le rocher sacré de l’Acropole. Elle illuminera, de cette hauteur, la capitale grecque, avant de projeter sa lumière sur le monde, lors de la Cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques qui aura lieu demain.
Carl Lewis a passé le témoin à Niki Bakogianni, dernière porteuse de la Flamme,
et le plus éminent des symboles de l’olympisme est allé à la rencontre de l’un
des plus importants monuments de l’histoire humaine : minutes majestueuses,
provoquant, dans l’assistance, une sorte d’effroi sacré ou de saisissement.
L’ensemble philharmonique de la municipalité d’Athènes a interprété l’hymne
national et l’hymne olympique, et le Drapeau Olympique a été hissé à côté du
drapeau grec. Le Premier ministre grec, Kostas Karamanlis, la Maire d’Athènes,
Dora Bakogianni, le Président du Comité Olympique Hellénique, M. Lambis
Nikolaou, et la Présidente du Comité d’Organisation des Jeux Olympiques, Mme
Gianna Angelopoulos-Daskalaki, ont ensuite prononcé quelques mots. Chacun a
pris la direction de l’Odéon d’Hérode Atticus, où quelque 4.500 personnes
s’étaient rassemblées pour écouter l’ensemble à cordes de Patras (avec Dimitris
Sgouros en soliste, et sous la direction d’Alexandre Myrat) interpréter un
concerto.
DIMITRIS A 14 ANS
Un film de François Reichenbach
Avec Rainier III de Monaco
Avec John Fraser (Producteur EMI), Anthony Shalit, François Reichenbach (à la tête de la table) etc.
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